Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Devenir secouriste
Devenir secouriste
Publicité
Archives
9 mai 2006

Premiers (se)cours

19h15. Je suis en avance. C'est bien moi ça. Mon téléphonne sonne au moment où je demande mon chemin au pompier-standardiste-formateur. Du coup il me montre la salle de cours avec de grands gestes.

Je rentre dans la salle. 5 personne sont assises. En fait, presque tout le monde est déjà arrivé.

Le formateur commence par se présenter et nous demande de faire de même. Avec moi: une fille de mon âge (24 ans) future pompier volontaire, qui a inscrit sa grande soeur au passsage; un garçon de 20 ans et une femme de 35 ans environ qui doivent être formés aux premiers secours pour obtenir leur monitorat de voile; une autre fille de mon âge, devant avoir l'AFPS pour continuer sa formation d'aide soignante, un homme de 47 ans en formation chez les pompiers volontaires dans un village voisin et une femme de 68 ans qui fait cette formation "parce que ça peut servir".

Nous abordons ensuite les thèmes suivants:

  • la protection de la victime, du secouriste et des tiers lors d'un accident quelconque
  • les conditions de dégagement d'urgence d'une victime
  • comment alerter efficacement les secours
  • la conduite à tenir en cas d'incendie, de fuite de gaz, d'accident de la route, d'accident électrique et en cas de déclenchement de la sirène

Le cours est très interactif. Deux personnes se démarquent du groupe par leurs remarques peu pertinentes ou leurs anecdotes inapropriées... L'ambiance est très sympathique et détendue. C'est fou ce que les gens peuvent avoir comme idées préconçues. "Si tu prends le courant et qu'il ne passe pas par le coeur, tu crains rien". Bah si.

Le formateur nous propose une mi-temps. L'expression "fumer comme un pompier" prend tout son sens. Il nous emmène visiter la caserne. Si je suis ravie, d'autres sont au bord de la crise d'hystérie. Enorme instant nutella en perspective. Moi qui ne connaissais que le local des pompiers de mon minuscule village d'origine, je suis toujours sous le choc!

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité